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Kurika
Ordre de la Sphère Céleste | Agent de liaison
Kurika
Messages : 5511

Age : 33
Date de naissance : 01/01/1991

Nationnalité : Test
Localisation : Test
Humeur : Test
Lun 3 Jan - 1:56
   
Yû pousse un petit soupir en avançant dans ce complexe qu'il ne visitait même pas de jour. Et là, on était aux petites heures du matin et suite à un SMS de son meilleur ami, le voilà à l'observatoire... Et à ce propos, Etsuya n'avait pas fini de l'entendre à ce sujet. Parce que si monsieur n'était pas en train de réconforter son frère jumeau, c'était vraisemblablement parce qu'il s'était fait renvoyer avec pertes et fracas... Et connaissant le lien qui unissait les deux frères, c'est que forcément, quelque chose ne tournait pas rond. De fait, lorsqu'il avait demandé plus d'information avant d'entrer dans la cage au lion, Etsuya lui avait répondu... près d'une heure plus tard. "Sebastian et moi, nous nous aimons". HEU ! Sebastian, c'était le gaijin que Miya avait épousé, non ?! Présentement, Yû flippait grave. Et le pire, c'est qu'il n'avait même pas le coeur assez mauvais pour refuser à Etsuya d'aller voir son jumeau. Il lui avait envoyé un message pour le traiter d'idiot, puis était sortit en coupant son cellulaire. C'est pas vrai ! Et c'est lui qui devait ramasser les pots cassés !
   
Alors voilà qu'il avait réussi à entrer à l'observatoire à cette heure sans fin. Heureusement, le gardien avait une fille qui était folle de GazettE... il avait pu négocier son entrée. Le gardien l'avait même orienté vers Miya. Et c'est lui qu'il venait de trouver en entrant dans une pièce consacrée à l'observation d'un grand ciel étoilé. Le vrai celui-ci. Ils étaient dans une tour. Le seul bruit qui se faisait entendre, c'était celui que faisait Miya en prenant quelques gorgées de saké. Okay... Pourquoi est-ce qu'il avait accepté ça, bon sang ? Poussant un petit soupir, Aoi se dirige à pas lents vers Miya. Il hésite. Qu'est-ce qu'on dit à un homme probablement des plus défaits ? Bonjour ? Sûrement pas... Aoi retire doucement la veste longue qu'il avait enfilé. Il la laisse tomber sur un banc près d'un mur, puis s'arrête devant Miya.
   
- C'est une belle soirée pour observer les étoiles...
   
Miya était... Ouais, il était déprimé évidemment. Et pas mal ivre aussi même s'il tenait encore bien debout. En fait, après avoir quitté Etsuya sur la plage, il était venu directement à l'observatoire. Pendant environs 45 minutes, il avait tenté de se concentrer sur un projet important à lui mais... Le coeur n'y était pas. Il s'était effondré en sanglot avant de sortir son cellulaire de sa poche, songeant à appeler Etsuya puis Sebastian... Et finalement rien. Il avait jeté le téléphone contre un mur et les morceaux du cellulaire devaient toujours se trouver au pied de celui ci. Alors il avait ouvert en grand le dome, parce que d'ordinaire, la vue du ciel le calmait. L'observatoir était dans une zone assez reculée et espacé de la pollution lumineuse autant que possible, offrant une vue relativement imprenable. Miya avait ensuite déniché une de ces bouteilles d'alcool de riz qu'ils gardaient pour les grandes occasions, les découvertes. Quoi ? C'était les deux ce soir... Et il buvait à ça !
   
Pas que ça lui ressemble de boire mais l'alcool avait le mérite de réussir là où tout le reste échouait. Il avait mal au coeur, mal à l'âme. Et les minutes passaient en diminuant la quantité d'alcool dans la bouteille. Il avait finit par retirer ss chaussures et ss chaussettes, avait défait un pan de sa chemise des pantalons, viré la cravate, déboutonné un peu la chemise... Puis il avait grimpé sur un bureau et gardait le nez en l'air, n'ayant pour seul geste qu'un mouvement de bras pour porter la bouteille à ses lèvres. Du moins, jusqu'à ce qu'on entre dans la pièce. Rien d'anormal sur le principe, le gardien rôdait dans le coin, Miya ne se retourne même pas. Cependant, quand un parfum et une voix trop connu lui font baisser la tête, il observe Yû comme s'il ne se rappelait même pas qui il était... Et finalement il descend de son perchoir, levant cette fois les yeux pour voir l'homme toujours sur son 31, comme s'il était toujours prêt à sortir...
   
- La situation est tellement dramatique qu'Etsuya fait même appelle à toi alors ? Note que tu dois être rassuré, tu n'es plus son super fantamse.. Fanmasme... Son rêve hérotique dernière génération.
   
- Fantasme, Miya. Fantasme...
   
Yû pousse un petit soupir, ne se braquant même pas. À quoi est-ce que ça aurait bien pu servir ? Il glisse ses mains dans ses poches, levant le nez au ciel un bref moment sans ajouter quoi que ce soit. Lorsque finaleent il en revient au jeune homme près de lui qui semblait avoir été arrêté en plein effeuillage, c'est pour hausser les épaules.
   
- Je ne suis pas rassuré. Au contraire. Et je n'étais pas supposé de venir ici... Je ne sais pas exactement pourquoi je l'ai fais. Mais ce n'est sûrement pas pour Etsuya. Je suis amèrement déçu.
   
Miya claque légèrement sa langue contre son palais d'agacement. Pas tant contre Yû cette fois que contre Etsuya et Sebastian. Il avait beau éprouver tout l'amour du monde pour son frère et aimer son mari, là tout de suite, il avait un peu la haine quand même et l'alcool l'aidait à ne pas brider ses émotions pour une fois. Finalement, après une nouvelle gorgée de saké, il tend la bouteille bien entamé au musicien.
   
- Amen, on va former un club. Moi je vais même en former deux, mais le deuxième est hyper selecte ! Tu rentres que si ton frère se tape ton mari...!
   
Puis après un grognement, il se laisse tomber assit sur le sol, posant son dos contre le bureau avant de fair remarquer avec une forte amertume :
   
- Etsuya a dit qu'il rentrait chez lui mais comme je ne lui ai pas interdit d'aller plutôt chez moi, je ne vais pas passer pour plus con que j'en ai déjà l'air. Mon appartement, mon lit...
   
Il lève les yeux sur Yû, une vague de colère au fond des yeux.
   
- Si tu as envie d'en rire, c'est le bon moment, j'aurais rien dire.
   
Miya déparle légèrement et semble être dans un état bien entamé par l'alcool. D'ailleurs, cette même bouteille lui est tendue et il la prend en l'observant un moment, douteux. Finalement, il approche la bouteille de ses lèvres. Il glisse sa langue dessus, puis en prend une bonne gorgée. L'alcool lui brûle la gorge, mais il ne proteste pas le moindre du monde avant de venir s'assoir près de Miya, l'air grave. Il garde cependant la bouteille... parce que sincèrement, Miya semblait en avoir eu bien assez pour le moment, non ?
   
- Est-ce que j'ai vraiment l'air de trouver ça drôle, Miya ?
   
Le guitariste soupire légèrement, posant finalement la bouteille entre eux.
   
- Aucun de nous deux est con. Et je sais que tu es assez intègre pour ne pas te mentir, c'est rassurant. Même si ça te semble con, si tu veux pleurer, gueuler ou rire, je suis là...
   
Miya avait oublié jusqu'à l'existence de la bouteille jusqu'à ce que Yû la remette entre eux. Il s'en saisit alors mais ne la porte pas à ses lèvres, la coinçant plutôt entre ses cuisses alors que ses doigts jouent distraitement et de façon malhabile autours du goulot. Le physicien tourne les yeux vers le guitariste lorsque ce dernier lui propose de... pleurer, crier, rire... Et il prend deux options sur trois. Ca ne lui ressemble, il ne voudrait pas, surtout devant Yû, mais il avait quand même besoin de vider un minimum son sac. Alors il éclate brutalement en sanglot, les larmes inondant un instant ses joues alors qu'il s'écrit, sans fausse pudeur, frustré, vexé et humilié :
   
- Moi aussi j'ai eu envie de voir ailleurs ! J'ai crevé d'envie de faire l'amour avec toi mais je ne l'ai pas fait même si tu aurais peut être voulu parce qu'Etsuya avait des sentiments complexes pour toi ! Parce que Sebastian était là ! Parce que je leur était fidèle MOI !
   
Il renifle, vient s'essuyer les yeux d'un revers de manche et hoquete encore un peu même si ce cri du coeur lui a fait beaucoup de bien pour le moment. Potentiellement moins demain, mais ça...
   
- Et ils s'en fichent, ils baisent sur mon malheur.
   
Yû déglutit avec difficulté alors que soudainement, Miya éclate en sanglot. Il l'avait plutôt imaginé... déclinant son offre, peut-être. Parce que c'était lui. Parce qu'ils s'entendaient comme chien et chat. Parce que plein de choses... Mais finalement, alors qu'il exprime tout son dégoût de la situation, Yû glisse une main autour des épaules du jeune homme. Il soupire tout en l'attirant à lui, déposant un baiser sur sa tempe.
   
- Et toi ? Qu'est-ce que tu vas faire, à présent...?
   
Le guistariste essaie d'ignorer le fait qu'un peu plus tot, Miya avait reparlé de cette fois où ils avaient légèrement abordé le sujet d'une... sexualité commune. Ça lui faisait toujours envie, il ne fallait pas croire. Mais ça le mettait aussi drôlement mal à l'aise. C'est probablement pour cette raison qu'il revient chercher la bouteille qui tient entre les jambes de l'homme pour en prendre une bonne gorgée...
   
Miya se laisse plus ou moins attiré contre Yû même s'il a un petit grognement réticent, par principe. L'étreinte est chaude alors qu'il a vraiment froid même si dehors la température est plus que bonne. Il avait toujours eu mal à se réchauffer, déjà tout gamin, sa mère ajoutait, de façon perpétuelle, une couverture sur son lit. Bref... Une question lui est posée et tout en agrippant la chemise du musicien, essuyant quelques larmes accrochées à ses cils dans le tissu sur une épaule, il hausse les siennes.
   
- J'en sais rien. Retourner en Amérique peut être, faire... Je sais pas. Je ne veux plus les voir mais l'un habite mon pays et l'autre travail avec moi. Je suppose qu'on va me planter des papiers de divorce sous le nez...
   
Il a un petit gémissement douloureux alors qu'il se fait dépité :
   
- Pourquoi est ce que je me plante Yû ? Pourquoi est ce que je ne peux pas avoir des gens qui m'aiment sur le long terme ? Pourquoi est ce que ça ne marche jamais ?
   
Yû pousse un nouveau petit soupir. Il pose une main sur une cuisse de Miya, histoire de se faire appuie alors qu'il repousse la bouteille un peu plus loin. Ça lui faisait mal de le voir avec ce genre d'humeur. Avec lui, Miya avait toujours eu du chien... Mais pas ce soir. Et ça le déstabilisait un peu. Il comprenait... mais ça le déstabilisait.
   
- Tu ne peux pas retourner aux États-Unis... c'est loin...
   
Il détourne le regard un court moment, haussant les épaules.
   
- Je me pose la même question que toi, mon coeur... Mais parfois, on rencontre peut-être juste pas les bonnes personnes...
   
Miya se redresse légèrement, venant à nouveau frotter ses yeux, plus de fatigue moral que pour y essuyer des larmes déjà taries. Il soupire, observe le ciel un instant en inspirant, tentant de reprendre ses esprits mais restant plus ou moins dans la brume malgré tout. Finalement, avec le tact qui le caractérise un peu plus, Miya demande, sans lâcher le ciel des yeux :
   
- Tu as toujours envie de moi Yû ? Pour "une nuit" comme tu avais dit. Tu en as encore envie ou je suis tombé assez bas pour que ça t'ai coupé l'envie ?
   
Yû a un petit sourire triste. Il observe ce joli visage bien moins fardé que celui de son jumeau. Plus... authentique... Il glisse doucement une main dans les cheveux du jeune homme avant de finalement tendre la main vers la bouteille à moitié vide. Il vient en prendre une gorgée, un peu de courage liquide ne faisant pas de tort, avant de répondre :
   
- J'ai toujours envie. Je ne sais pas si c'est pour une nuit, Miya. C'est ce qui me fait douter. Mais je ne doute jamais sur mes envies... Et présentement, j'aimerais être celui qui a toute ton attention. Je me tremperais de la tête aux pieds dans ce foutu saké puisque tu sembles si bien l'aimer pour ne serait-ce qu'être celui qui a droit à tes attentions.
   
Yû gronde légèrement, se laissant tomber au sol pour observer le ciel.
   
- Et puis j'ai pas envie que tu repartes. T'as pas envie de rester et de me gueuler dessus, comme dans le bon vieux temps ? Je blague...
   
Miya revient observer Yû silencieusement et quand ce dernier se laisse glisser au sol, il vient d'une main, carresser une joue avec douceur bien qu'une légère maladresse dûe à l'alcool. Il avait d'ailleurs eu toujours plus de douceur et de tendresse dans ces trop courts moments d'intimité que ce qu'on le supposait habituellement. Finalement il glisse plus ou moins au sol à son tour, venant déposer un baiser humide à la commissure des lèvres du musicien, murmurant et suppliant tout à la fois :
   
- Ne parle pas de promesse de peut être plus ni de rien qui y ressemble. Je n'y crois plu ce soir... J'ai juste envie de toi, d'avoir chaud, d'arrêter de souffrir...
   
Yû détourne un regard qui s'humidifie légèrement aux paroles de Miya. Il déglutit avec difficulté, observant la voûte étoilée avec chagrin tout en demandant, cherchant réellement une réponse :
   
- Alors pourquoi est-ce que c'est toujours à moi de... servir à "ça" ?
   
Miya se laisse plus ou moins retomber sur Yû, soupirant, fermant les yeux... En fait, il se sent complètement épuisé.
   
- Les deux personnes que j'aime le plus au monde m'ont trahit pour vivre une passion entre elles... Alors même si je voudrais croire très fort qu'il y a de la place avec quelqu'un pour moi, je ne me permet pas d'y croire à voix haute. Parce que j'ai trop mal ce soir pour accepter d'être encore déçu... Je t'ai dit que je n'étais pas de ceux qui se laisse aller à succomber à la tentation d'une nuit. Mais je ne veux rien formuler à voix haute de peur que ce que j'essai de toucher me fuit...
   
Yû ferme les yeux un court moment. C'était toujours la même rengaine au final. Un refus de promettre pour ne pas décevoir... mais décevoir tout de même en bout de ligne. Néanmoins, Yû se redresse pour plonger son regard dans celui de Miya. Il avait toujours apprécié ces jolis yeux que partageaient les deux frères. D'ailleurs, il glisse le bout de son pouce pour en redessiner l'amande avant de finalement repousser doucement Miya pour se redresser. Il se dirige vers la porte rapidement... pour la verrouiller. Puis, il se tourne vers l'homme, le souffle court, le coeur battant à tout rompre. Il avait déjà terriblement envie de ce qui allait suivre... Il est loin de Miya qui lui, est encore au centre du dôme. Et pour le faire languir, c'est de sa place qu'il commence à retirer doucement son haut. Lorsque celui-ci tombe sur le sol, Yû frémit de la tête aux pieds. L'air était relativement frais ici... Une petite chair de poule nait sur sa peau diaphane, mais il l'ignore. L'une de ses mains glisse sur son ventre ainsi mis à nu, caressant un court moment le joyau qui brille à son nombril.
   
- J'ai toujours voulu... faire l'amour sous les étoiles...
   
Il glisse une main dans ses cheveux, retirant la grosse pince qui servait à retenir les mèches longues. Celles-ci ainsi dégagées tombent en cascade sur ses épaules et dans son dos. D'un mouvement, il fait signe à Miya de rester à sa place. Il avait besoin de temps.
   
Miya se redresse légèrement, un peu brumeux mais conscient et son regard se pose sur la silhouette du guitariste qui va verrouiller la porte avant de revenir vers lui, s'arrêtant néanmoins à bonne distance, retirant son haut de façon lente et sensuelle. Loin de Miya l'idée de rire ou même de sourire. Son air est grave, son attention complètement tournée vers l'homme qu'il a en face de lui et qui laisse ses cheveux venir s'échapper sur ses épaules nues. Miya ne dit rien, ne fait ps un mouvement durant ce temps et quand le silence retombe, la langue déliée non pas par l'alcool mais par la simple personnalité qu'il avait dans l'intimité, Miya reprend finalement la parole, plus sérieux que jamais.
   
- On est pas obligé, Yû... Je n'ai pas envie que tu penses que je le fais par vengeance, je n'ai pas envie que tu crois que je ne te vois pas. Je te vois, plus que jamais, je t'admire, à tous les niveaux, vraiment. Je te trouve magnifique aussi. Et je crois que tu mérites vraiment mieux qu'un imbécile tout juste bon à ne pas savoir avoir la moindre relation ivre qui se donne en spectacle...
   
Yû écoute attentivement Miya. Et il l'entend. Mais, loin de se mettre à genoux pour affirmer à Miya à quel point il est sensationnel, il répond seulement :
   
- Tu es un vrai handicapé social, Miya. Mais qu'est-ce qui t'autorise à croire que je ne suis pas sous le charme de cet handicapé social ? Je n'ai pas besoin de monsieur tout le monde. J'ai besoin de l'homme qui n'aurait d'yeux que pour moi. Et celui qui saura gueuler quand j'aurai les chevilles enflées aussi... Parce que j'ai tendance à oublier que je suis un simple être humain. C'est toi, ça...
   
Il pousse un petit soupir, fermant un court moment les yeux alors qu'il glisse ses mains sur son corps une nouvelle fois. Cette fois, cependant, elles s'arrêtent au niveau de sa ceinture qu'il tire doucement jusqu'à la retirer complètement. Il en fait glisser le cuir sur son ventre avant de la faire tomber au sol. Avant que les choses sérieuses ne commencent, il s'applique à retirer chaussures et chaussettes... puis fait quelques pas vers Miya. Cependant, le guitariste s'arrête à nouveau. Il n'avait pas envie de s'offrir autrement que complètement, ce soir. Il avait envie de plaire au petit côté macho que Miya possédait sûrement, comme chaque homme. Ce soir, il serait siens...
   
- Bébé... tu fermes tes jolis yeux...?
   
Miya ne s'offusque même pas. Trop concentré et trop distrait en même temps, trop alcoolisé... Et puis honnêtement, Yû lui avait déjà placé bien pire dans les dents hein... Là c'était plutôt des compliements dans le fond. Le musicien continu de se dévêtir et Miya l'observe de façon plus respectueuse qu'on ne l'aurait imaginé dans ces circonstances, ne perdant pas une miette du petit spectacle que lui offre Yû. Et quand il lui demande de fermer les yeux, il s'exécute docilement, un petit soupire franchissant ses lèvres.
   
- Ils sont fermés. Pourquoi...?




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